Jour 28

 

 

Oh oui Channie, joue-moi un air à la guitare =w=

 

 

 

BONSOIR AMIS DU SOIR. Non je ne vous ai pas zappé hier. Non non. La flemme a seulement gagné. Vilaine fille qu'elle est. J'étais prise dans mon visionnage du moment avec ma Môman. Je suis remontée à 23h dans ma piaule et j'ai préféré ouvrir Miman et bossé dessus que d'écrire ma Five List du jour :D Sinon je voulais revenir rapidement sur un commentaire que j'ai reçu aujourd'hui : "Et merci aussi pour tous les articles Five List que tu as écrits, je n'ai pas encore tout lu et je n'ai pas laissé de commentaires (sorry) mais j'adore les lire, donc vivement les Ten List et pourquoi pas les Twenty List, je compte sur toi. ;)" J'ai rigolé en lisant ça, ha ha. Merci Miss ou Mister. Ca m'a fait super plaisir à lire. On verra èwé Peut-être que des Ten List pointeront le bout de leur nez à Noël prochain. :p -Sans les sorties par contre, c'est fini ces conneries de calendrier XD-

Bon ce soir j'ai envie de parler drama. Ca faisait longtemps. Dans les Five List je veux dire. Parce que j'ai bien raconté ma vie dans le débrief de Janvier, ha ha. J'ai envie de parler dramas et comme en ce moment je regarde un drama qui me fait BIEN chialer -je vous en parlerai dans le débrief de Février :p- je me suis dit : Et si on parlait chouinerie ? Comme vous le savez sûrement, les Chouiny Dramas, comme j'appelle ça dans mon jargon, ne sont pas ma tasse de thé maaaaais... même si je cours pas après, il m'est arrivé d'en voir quand même au cours de ma vie de dramateuse. -CA VOYEZ, C'EST LA PREUVE QU'UN CASTING PEUT ME FAIRE VOIR N'IMPORTE QUOI- Normal. Donc voici 5 dramas qui m'ont vraiment détruit de l'intérieur. 

 

 

Tout d'abord quand je pense "moi en train de pleurer sans pouvoir m'arrêter devant un drama" je pense direct à Ryuusei no Kizuna. Ah celui-là. Celui-là il m'a vraiment fait du mal. Et en fait, ça n'a presque rien à voir avec le drama en lui-même, enfin plutôt le scénario. Ce drama n'est pas un drama qui va chercher à faire pleurer ou à nous émouvoir comme un Ichi Rotteru No Namida par exemple. -Que je ne citerai pas dans cette liste, parce que le début m'a fait tellement pleurer que je me suis arrêtée au 4. Je ne suis définitivement pas prête à regarder cette histoire. Pardon Aya.- Non ici, rien à voir. Oui c'est un drame mais pas que. Avoir Ninomiya-kun, Ryo-chan et Erika Toda qui jouaient une fratrie, c'était un régal. On a bon scénario, bien ficelé. Des passages de morales comme dans tout drama japonais. Et encore je vous dis tout ça que de mémoire mais dans l'ensemble, dans mes souvenirs, c'est vraiment un super drama que je recommande dans le genre enquête, drame familial à la japonaise. Alors pourquoi j'ai pleuré comme une madeleine devant ? Et qu'il a presque remis en question toute ma vision du monde ? Hé hé. Suspens suspens. Non je déconne. Bon j'ai déjà dû vous l'expliquer mais je suis quelqu'un d'empathique. Mais vraiment. Je me mets forcément à la place des autres. C'est une qualité comme ça peut être un défaut. Dans mon cas, c'est un peu handicapant, parce que j'ai pour devise "De ne pas faire autre ce que je ne veux pas qu'on me fasse." Donc j'arrive jamais à rendre la pareille quand on me fait un coup de pute ou qu'on me fait une crasse, parce que je n'ai pas apprécié qu'on me la fasse donc je la ferai pas aux autres voyez ? Vous situez un peu le problème que j'ai ? XD Bon. Alors maintenant partons sur le principe que dans ce drama, ce sont donc trois frères et sœurs. Il arrive un drame au début du drama qui fait que, les trois perdent leur deux parents. Et ils sont très petits. Et à ce moment-là, étant l’aînée d'une fratrie de trois enfants -j'ai deux (couillons) de petits frères- je me suis retrouvée presque traumatisée par ce début drama, parce que je n'ai PAS PU M’EMPÊCHER de m'imaginer à la place de l’aîné. A me dire : Mais si ça nous était arrivé à nous, comment on aurait fait ? Comment j'aurais fait pour m'occuper de mes frères toute seule ? Pour les élever toute seule ? Et je suis partie à pleurer mais à pleurer... mais rien pouvait arrêter les chutes du niagara là. Même une fois l'ordi éteint, sous ma couette, j'y repensais et vas-y que je repartais à pleurer. Et puis se dire qu'ils ne reverront plus jamais leur parent... ça m'a vraiment travaillé toute la semaine où j'ai regardé ce drama. Et c'est resté en moi quoi. Chaque fois que j'entends l'OST du drama, j'ai les larmes qui remontent. Chaque fois que je repense aux scènes du début, j'ai mal dans l'âme. Surtout une scène où la petite soeur qui, je sais plus à 3/4 ans je crois, demande à son grand frère où sont passés ses parents. Mon dieu. Mais comment expliquer une chose pareille à une petite fille aussi petite ? ;_; Enfin je vous jure. Traumatisée je suis XD En plus le dénouement du drama est ÉNORME. Le truc qu'on ne voit absolument pas venir et qui m'a encore plus achevée. Mais encore une fois dans l'ensemble, c'est VRAIMENT un excellent drama. Bien fait. Bien raconté et avec un super casting. Et je me rappelle qu'il y a l'excellente Nakashima Mika -celle qui fait la Nana rockeuse dans l'adaptation live du manga Nana-, qui en plus d'être une super chanteuse et une actrice à part. Quoi qu'il en soit, allez-y ! Mais, chers amis empathiques, accrochez-vous. Cette histoire fait mal.

 

 

 

Ah oui. Voir bébé Jingoo, ça donne trois envie de pleurer, je suis d'accord. ;_;

Deuxième drama qui me viendrait tout de suite à l'esprit, vous allez dire que je vous casse les bonbons avec à force de vous en parler tous les trois articles XD Mais inévitablement, Iljimae. Parce que comme je viens de vous l'expliquer je suis de nature empathique. Et vu que souvent l'un avec l'autre, eh bien je ne supporte pas l'injustice. Et Iljimae a été comme un gros crachat en plein milieu de ma face, voyez. "Ah t'aimes pas voir les gens se faire accuser injustement ? Attends. On va tuer une petite fille à coup de sabots dans la tronche alors qu'elle ne cherchait qu'à ramasser un ruban par terre. Après tout c'est sa faute, elle avait rien à foutre au milieu du chemin." Voilà. Bienvenue dans Iljimae. J'aurais pu remplir ma baignoire et me faire un bain avec toutes les larmes que j'ai versées devant ce drama. C'était juste sans arrêt. C'était épuisant, éprouvant. Alors oui c'est un grand drama. Un drama marquant. Mais c'est aussi le pire de tous en qualité d'injustice. C'est pas Iljimae qui l'aurait dû s'appeler mais "LA JUSTICE JE LUI PISSE A LA RAIE." 

 

 

 

J'ai aussi beaucoup pleuré devant Mioka. ;___; Ma pauvre Mioka. Parce que, ce que j'ai aimé dans ce drama, c'est que le côté dramatique était moins présent. Enfin c'était pas mis en scène de la même façon que dans Ichi Rittoru No Namida, où la fatalité est sans pitié. Ici, elle l'est aussi, évidemment, elles ont un peu la même maladie si je me souviens bien, mais elle met son temps à venir. Et on commence d'abord par s'attacher à Mioka. -Yurikoooooooo ! \O/- A sa forte personnalité. A son histoire d'amour. A sa bande de copains. J'ai trouvé l'avancer du drama et de la maladie moins violente que dans les 4 épisodes de IRNM que j'ai vus. Où on en prend une claque d'entrée. Pas de quartier. Mais comme je me suis beaucoup attachée à Mioka, la voir partir m'a fait vraiment du mal. C'est une belle histoire, mais douloureuse.

 

Bon, vous allez dire que je me répète encore mais je suis obligée de citer Secret. Cette histoire est dégueulasse du début à la fin. Tous les personnages se font du mal. Parfois pour rien. Parfois sans savoir qu'ils se font en fait du mal eux-même. Et l'héroïne prend tout dans la gueule. C'est plus un Chouiny Drama, c'est un "Qu'on me donne un seau que je vomisse, les êtres humains me dégoûtent"  Drama.

 

 

 

 

Et en dernier, je vais faire un triple choix parce que j'ai envie de les citer tous les trois : LIFE, Byakuyakou et Koizora. Trois dramas japonais. Trois sujets différents : l'ijime, autrement dit le harcèllement morale et physique dans un milieu scolaire. Une histoire d'amour impossible de deux personnes liés à travers un crime qu'ils ont commis. Et la maladie incurable. Si LIFE nous fait chialer tout du long et nous donne des envies de meurtres envers tous les adolescents japonais, Byakuyakou va plutôt nous travailler au corps. On a mal, mais face aux agissements du héros. Qui est prêt à tout sacrifier pour celle qu'il aime, parce que voilà, c'est dans ses tripes, il y peut rien. C'est tellement beau qu'au final c'est douloureux. Et Koizora là par contre, celui qui a écrit cette histoire est un vile sadique. Nous présenter un personnage comme Hiro. Nous rendre accro à lui. Pour au final nous dire : on va s'arrêter ici. MAIS NON ! VOUS AVIEZ PAS LE DROIT. Je vous déteste, voilà.

 

Et vu l'heure qu'il est, je ferai qu'un article ce soir. Désolée. Je me rattraperai demain ;)